Par cette dou­ble métaphore, fig­ure d’analo­gie, la fau­cille d’or et le champ des étoiles rem­plaçant respec­tive­ment la lune et le ciel, le poète nous trans­pose dans un monde imag­i­naire qui cor­re­spond au sujet biblique qu’il évoque.

Dernier vers de « Booz endor­mi », Vic­tor Hugo, La Légende des siè­cles.





Cette faucille d’or dans le champ des étoiles ?




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