Un paradoxe de Montaigne.

Et les bonnes senteurs étrangères, on a raison de les tenir pour suspectes à ceux qui s’en servent, et d’estimer qu’elles soient employées pour couvrir quelque défaut naturel de ce côté. D’où naissent ces rencontres des poètes anciens : c’est puer que de sentir bon.

— Michel de Montaigne, Des Senteurs





C’est puer que de sentir bon ?




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